Je ne relève pas de commande au matin, et je n’ai donc exceptionnellement pas de colis à envoyer ce jour. La chaleur plus forte dissuade M de pousser la promenade dans le pré. Quand nous rentrons, elle s’affale sur le parquet pour chercher la fraîcheur, se déplace parfois sous le bureau, où j’ai commencé le travail de saisie. Avent de partir pour KB, j’ai entré deux lots, dont l’intégrale chez Droz, volume par volume, de Perceforest, un classique français du moyen âge. Le véhicule peine mais il m’emmène vers la vallée. Au passage, je salue PC qui rentre de vacances. Je passe ravitailler mon frigo puisque S et L arriveront demain pour le week-end. De retour, je passe un agréable moment avec mes parents au téléphone, disposés à me prêter la somme qui me permettrait de racheter une fourgonnette. Je repars en promenade avec M, par le pré cette fois et elle m’entraîne encore vers l’allée de marronniers. Au retour, long coup de fil avec AC, plus en forme à l’approche de l’été, à qui, aussi, on propose de postuler pour un nouveau poste à la rentrée. Elle s’assurerait ainsi un emploi plus sûr dans son université. Quand je raccroche, il est déjà tard. Je dîne, jette la balle à M jusqu’à ce qu’elle se lasse de courir. Bientôt, A, le petit chiot que J et moi attendons le mois prochain, tentera de la lui chaparder, courra après elle, deviendra plus vif et rapide. Un petit compagnon stimulera M. Je repense à notre vieux L qu’elle accompagna jusqu’au la fin. Rapidement, elle dicta sa loi.