Sur le heurt à la porte dans «Macbeth»

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Parues en 1823, les pages de Thomas De Quincey sur Macbeth, qui ressuscitent ses propres souvenirs, annoncent De l'assassinat considéré comme un des beaux-arts, publié en 1827. Elles étaient connues de Baudelaire qui s'en inspira dans Les paradis artificiels, et de Mallarmé qui en traduisit quelques passages. Nous les donnons ici dans une traduction de Gérard Macé, qui les fait suivre d'un commentaire où les échos dans la vie de De Quincey lui-même, ainsi que dans l'esprit de Baudelaire, donnent lieu à un jeu de l'esprit aussi fascinant que vertigineux. Au point qu'on ne sait plus ce qui appartient en propre à un auteur ou à l'autre, puisqu'ils semblent partager les mêmes hantises, le même imaginaire, dans un théâtre intime dont Shakespeare est le prestigieux souffleur
AspectExcellent état
Date d'édition2009
EditeurLe Promeneur
Formatin-12
Languefrançais
Langue d'origineTraduit de l'anglais
Lieu d'éditionParis
Nb pages80
NB Volume1
Nom AuteurThomas De Quincey
Reliurebroché
TraducteurGérard Macé
SujetLittérature

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